Internet of Things
a orientation industrielle

Le parc a développé un ensemble cohérent sur surveillance des sites industriels et des infrastructures qui repose sur la combinaison de nouveaux capteurs, petits et économiques, d'une système de collection des données à grande échelle ainsi que d'outils d'analyse basés sur l'intelligence artificielle. Ainsi, de grands sites industriels peuvent être monitorés en temps réel et il est possible de détecter les pannes ou ruptures avant qu'elles ne se produisent. Il est fréquent qu'une petite panne en engendre un seconde, puis une troisième dans un effet domino pouvant mener à la catastrophe. Pouvoir déceler la première panne avant qu'elle se produise est donc tout à fait stratégique sur des industries critique comme la sidérurgie, la pétrochimie ou le nucléaire.

Le cas ELOQUE

La solution Eloque est une technologie de l'Internet industriel des objets (IIoT), utilisant de minuscules capteurs à fibre optique fixés au pont pour mesurer et estimer avec précision la contrainte structurelle, la réponse thermique, la flexion, les charges, les vibrations et la corrosion, qui sont toutes des mesures de la santé structurelle. . Des analyses avancées sont ensuite utilisées pour évaluer les données des capteurs et fournir des informations directement aux propriétaires et aux opérateurs de ponts en temps réel, pour surveiller si un pont est surutilisé ou sous-utilisé, présente des problèmes structurels ou des dommages qui doivent être réparés.

La technologie est testée dans le cadre d'un partenariat entre Xerox et VicTrack, l'entreprise publique du gouvernement de Victoria (Australie) qui possède toutes les lignes de chemin de fer et de tramway de l'État. La solution de PARC utilise des capteurs et des analyses avancées pour surveiller la santé structurelle des ponts afin d'optimiser la durée de vie des actifs.

Cette technologie permet une détection et une prédiction précoces des problèmes, ce qui permet de détecter les problèmes avant qu'ils ne deviennent potentiellement plus coûteux à réparer et aide les clients à gérer efficacement les budgets de maintenance.

Selon l'American Society of Civil Engineers for America's Infrastructure, rien qu'aux États-Unis, 42 % de tous les ponts ont au moins 50 ans et près de 231 000 ponts ont besoin de travaux de réparation et de préservation. Ce problème s'étend à travers le monde. On estime que 70 % des ponts australiens ont plus de 50 ans, environ 11 000 des 25 000 ponts ferroviaires allemands ont plus de 100 ans et 7 % des ponts français risquent déjà de s'effondrer.

XEROX SE RETIRE DE CETTE TECHNOLOGIE FIN 2022, LE PARTENARIAT AVEC L'AUSTRALIE EST LIQUIDE AVEC MENACE DE PROCES CAR INOPERANTE.

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